[MORTE] Namésis, la tourmentée.

Jours et horaires de connexion : Tout les soirs jusqu’à ce que je mange (environ 20h) et en général fuuull W-E! (naan suis pas une geek, naaan)
Pour Boro: Je ne suis pas dispo les soirs de semaines, sinon c'est tout!

Nom : Namésis, à renier son nom de famille pour sa part.

Classe: Gladiatrice

Statut au sein de l'Ordre: Devineresse

Traits de caractère : Fragile, droite, instable, gentille et juste, voila quelques adjectifs qui la représente très bien.

Particularité morale : On peut voir à son approche que Namésis est quelqu'un de très tourmentée, les mots de tête la prenne souvent ce qui la fait passer généralement pour une chose fragile, ce qu'elle est en réalité. Sinon elle essaye de rester très droite et d'avoir des phrases très correct même pour son jeune âge, mais lorsque ses souvenirs passés l'atteignent, elle peut rapidement se laisser tomber à terre, en pleurant et sanglotant.

Description physique : Namésis ressemble très portrait à sa soeur, plutôt foncé de peau, tant dis que ses cheveux tirent étrangement vers le blond. Elle est sinon de petite taille, tout comme sa celle-ci. Ce qui les différencie par contre sont leurs coupes de cheveux et leurs tatouages. Namésis à une frange qui lui couvre le front attaché avec une jolie broche en une sorte de chignon, et de grand trait bleus agrandissant ses yeux lui décorent le visage.

Particularité physique : Elle à aussi un gant long à la main droite, constamment, pour cacher en dessous une morsure délicate et hésitante, dont elle est sa soeur sont les seules à connaitre la provenance.

Résumé de son histoire : Namésis est fille de clan de chasseur, elle y à passé la plus grande partie de son enfance avant de devenir daeva et de s'envoler vers Pandaemonium avec sa jumelle. Tant dis que l'une chasser, Namésis était plongée dans les livres, semblé constamment malheureuse mais ne s'en plaignait jamais. Elle ne fut que soulager de s'envoler vers la grande Capitale pour quitter la pression constante dut à son héritage commun avec Catarsis qu'était le clan.

BG : À venir.

Le soir ça commence à 18h00 pour tes dispos ?

Plutot 17h30 même (attend je post la suite de mon BG)

Troisième extrait

Jour 30

Ce n’était qu'une amourette dirons certain, c'est un amour passagers diront d'autres. Alors pourquoi mon cœur me fait temps souffrir?

Depuis qu'il n'est plus là, j'ai l'impression qu'il me manque quelque chose, un organe vitale, mon cœur. Ne reviendra-t-il jamais? Me laissera-t-il pourrir dans ces élans de folies qui m’envahissent, remplissant le vide de son éternelle absence?

Je me fiche de cet morsure, je me fiche de ce qu'il a put être, je me fiche d'être transformer en je ne sais quoi, tout ce que je veux c'est partir, partir loin, dans ses bras chauds et rassurant.

Jour 35

On me regarde sous un nouveau jour au camp. Ils ne savent pas mais pourtant redoute. Ils ne sont pas mais pourtant espèrent. Que l'on m'explique ce qu'ils veulent de moi, enfin!

Jour 57

J'ai ressauté. J’espérais dans un élan d'espoir qu'il reviendrait me sauver comme il le fut l'autre fois.

Et non, il n'en fut rien.
Je suis tombé, sur un autre rocher cette fois. Le médecin me dit que ma jambe est peut-être irrécupérable. Père me cri dessus à gorge déployé, il me demande ce qui me passe par la tête.

Il ne le saura jamais, et heureusement. Bien que la chute fut plus courte que prévue je souffre. J'avais prévu soit d'être sauvé, soit de mourir, mais aucunement de ça.

Oh, ange tombé du ciel, ne viendras-tu jamais me récupérer? Pourquoi m'avoir emmenée si haut si c’était pour me laisser tombé?

Quatrième extrait

Jour???

Les événements ce sont vite enchaînés, je suis encore sous le choc.. Mais chaque chose en son temps.

Comme d'habitude je suivis ma sœur dans son élan de chasseur d'impur, et me retrouva à Basfelt pour un but que je n'accomplirais jamais. Je suis en parfaite admiration devant ces êtres, leurs beautés sauvages m'envahissent. Je suis leur.

Que dire sur ce village.. C'est un hameau charmant se trouvant dans les montagnes, même séparé par une crevasse mais relier par un pont. Les maisons sont simples mais m'attirent, je m’ébahit devant cet endroit pittoresque. Je ne sais pas.. Il rappele en moi des souvenirs, serais-je déjà venue ici ?

Je rejoins bien vite ma sœur sur le pont permettant de faire de ce troupeau de maison une ville, et j’attends. La douleur me prend, je me courbe, ma tête me fait souffrir et Catarsis l'a bien compris. Elle me tient la main, mais rien ne peut me calmer.

Ils sont là.

Elle me montre par la suite le chef de ce clan chasseurs de lycans et vampire, et nous nous joignons a eux, jouant la comédie.
Ils se prétendent jeune chasseur voulant compagnie, nous jeunes femmes aimant s'amuser. Nous les suivons et ils nous amènent sous une grange de l'endroit, tout à coté d'eux.

Ma tête me fait mal mais je ne peux qu'admirer leurs beautés. L'assurance de celle qui me semble la chef m’impressionne, ils sont tous plus fascinant les un que les autres.

Mon regard vient ainsi se poser sur lui. Ils sont plus que semblable. Ça me terrifie, mon cœur hurle et ma sœur le voit. Mais même ses paroles rassurantes ne peuvent rien pour moi. Je suis sous son contrôle.

Van Boroshaar ( le nom de notre"chef") les invitent à prendre un verre, ils acceptent et je suis le troupeau, tête baissée. Nous nous calons derrière une maison et nous buvons, enfin eux. Le baril est empoisonnée.

Nous jouons la comédie le temps qu'ils boivent. Nous jouons même au devin avec ma sœur, leurs demandant de consommer pour faire obtempérer la magie.
Je sens son regard sur moi et j'en tremble. Ils comprennent vite le stratagème et s'en vont crépitement, plusieurs se sentant mal parmi eux. Il part.
Boroshaar demanda a qui veut de les suivre. Qu'elle excuse! Je me précipite, cours, vole.

Une fois dans la capitale, je perds leurs traces. Ma tête tourne, je hurle ma douleur et les gens me regardent de travers. Je cours dans cette ville qui me parait maintenant immense, m’arrête au bout d'une trotte et tombe, net.

Mon cœur pleure, mon corps souffre et ma tête cris. Elle cri..? Ne serait-ce..? Ils sont là, juste devant moi. M'attendant au pire je me met en boule, par terre sous leurs regards intrigués. Ils.. ne me tuent pas ? Non, il cherche étrangement à m'amener réconfort.

Je crois rêver mais ma tristesse m’empêche de parler. Ils me font entrer en leurs demeure, ne voulant pas me laisser là, dans la rue, tel un chiot pleurant sa mère.

Leur domaine est une grande villa, avec en son centre un majestueux jardin. La pièce où ils me conduisent est joliment décoré, grande table, chaise à l’apparence confortable, tableau élégant, large canapé... Et malgré tout l'ambiance y est froide.

Ils me font m'asseoir et je leur raconte tout. Je leur livre ma vie, je leur ouvre mon cœur tant dis que "celui lui ressemblant" écoute. Cela ne semble pas le déranger mais au contraire l'intrigué. Je ne peux que me rendre compte de la situation. Je suis en larme, sur leur canapé à tout leur raconter.
Suis-je étrange? Me livrer à des étrangers, sans retenu?

Je leurs explique aussi que je sais tout au sujet de leur nature, grâce à mon.. don.. ou malheur.. de perception. Ils sont étonné. Je leurs en aurait bien dit d'avantage mais ma sœur est là devant leurs portes à me réclamer.

Je veux rester dans cette maison pourtant si froide mais elle m’arrête, je dois l’empêcher de faire scandale.

Je m'en vais donc vers la sortir mais suis cachée par l’attroupement, je m'en sers a mon avantage et pose une main dans le dos de "son semblable".

-Nous nous reverrons, lui dis-je.

Il acquiese et je pose alors ma main dans le dos de leur chef et je lui murmurre être de leurs cotés, puis m'en vais avec ma soeur.

Son air incredule me fait comprendre son etonnement. Je la suis alors jusqu'a notre appartement dans Pandaemonium. Je ne peux que lui expliquer et je la fait, le regard honteux. 

- j’espère que tu me comprends...

- Je t'ai toujours soutenue Namesis, mais je ne sais que penser.. Je sais l'accepter mais je suis une chasseuse, et malgré tout je les chasserais.

J'observe son visage un instant. Elle m'est vraiment identique. Sauf son tatouage et sa coiffure, ma sœur est ma parfaite copie. Bleutée et pourtant blonde, le regard argentée orné d'une lueur rouge à l'iris.

Je baisse la tête et acquiesce, je ne peux que faire ça. Je sors de l'appartement a la moquette et aux murs rouges, et sors dans la rue.

Un prêtre de l'ordre m'intercepte et me dis:

-Tu as mis en danger la vie de tes compagnons soit en consciente, si tu as besoin de te confesser je suis là.

Je l'avoue a ce moment là je le regarde avec une certaine condescendance.

-Aion, aide la à trouver sa voie, quel qu'elle soit. 

Je m’évade et me dirige vers une parc de cette grande capitale. J'ai mal. Ils sont là.

-Je te sens. Attend que le prêtre parte et nous pourrons parler, dis-je.

Nous attendons un petit moment avant que le gêneur ne s’éloigne et elle sort de sa cachette. C'est la chef. Elle sait, mais vint directement sur le points important. Suis-je avec eux, ou contre eux? Après moult paroles je lui offre ma fidélité.

[Notre conversation ayant été longue et fastidieuse, ainsi que d'ordre très privée, je ne l' écrirait donc pas ici.]

Les autres sortes de leurs cachettes. Il est là. Elle m'annonce devant eux et me fait prêter serment, ce que je fais sans hésiter. Ils viennent s'agenouiller un à un devant moi.
Ils sont trois mais je ne porte attention qu'à lui. Après un moment de réflexion je fis de même. Ils s'en vont mais il reste. Je ne le regarde pas, observant le sol.

Il me demande des explications, et je lui bégaye mon histoire de nouveau.
Il semble comprendre et me dis des paroles attendrissantes, je me tourne pour ne pas le voir, les joues en feu et la gorge sèche. Il me pose sa main sur mon épaule et me dis:

- Pourquoi te retournes-tu, as tu peur de moi?

J'hoche la tête négativement.

-Alors.. Retourne toi.

Je lui obéis et découvre un sourire sur son magnifique visage. Je craque et lui saute dans les bras, en larmes. Il doit bien faire deux têtes de plus que moi. Ses bras chauds me rassurent je me sens bien. Il me demande de sécher mes larmes et abordent un franc sourire à mon égard.

Il m'embrasse soudainement le front, avant que je ne réagisse. Il sourit à mon regard surpris et me dis qu'il vaudrait mieux que j'aille dormir, histoire d'avoir les idées plus claires. Il dit me retrouver demain, où que je sois, pour continuer cette conversation. J’acquiesce et obéis.

Avant de partir il pose sa main sur mon front, mon cœur me fait mal mais cette douleur et d'un certain coté ...agréable. Je tremblote sur le chemin du retour, écris et me couche.

Demain je n’écrirais plus être en jour inconnue. Demain j'écrirais être un jour nouveau, car ces événements marquent le commencement de ma nouvelle vie.